A ma mère
C’est avec un immense plaisir que je vous invite à s’aventurer dans une des galaxies de l’univers des poèmes. Le contenu étant rédigé de manière classique, présenté à la fois sur la base des variétés des strophes et une pluralité de rimes dans toute sa diversité.
Cet ouvrage exhibe aux lecteurs et lectrices, l’amour d'une mère particulière. Si immense et démesuré, il dénude la perfection de cet entité, qui est à l'apogée de la nature. Si puissante soit-elle, l’impossible s’enclore en plausible, voire même décliner l’instinct de vie en chacun de nous et de toutes les créatures.
Dans la moralité, la femme qui se doit d'être mère, possède une distinction symbolique de vertu dans l’humanité. En ce sens, il y a une différence majeure entre l’amour d’une mère et celui d’un père, en allusion au proverbe japonais qui disais que : « l’amour d’un père est plus longue qu’une montagne » tandis que « l’amour d’une mère est plus profond qu’un océan».
Dans cette perspective, en se contentant d’analyser l’amour de ma mère, Halima Mohamed Daoud, qu’elle exprime toujours à nos égards, j’ai compris à travers, qu’il n’avait absolument aucune fissure possible, une affection si parfaite que même les limites mathématiques, ne pouvait guère et avec conviction déceler vers ou tend-telle. Les courages, les sacrifices qu’elle a fait preuve sont immenses, inconcevables et inédites ; mériteraient d’une gratitude au-delà d’une reine qui a pris part dans cette humanité.
Abdi-Basid IBRAHIM ADAN
July, 2017
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En voici quelques échantillons de l'ouvrage A ma mère ( Abdi-Basid ADAN):
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Ô, Mère! À vous l’honneur,
Avec une immense splendeur,
Ces préceptes de mon cœur,
S'enflamme sans heure dans ma profondeur.
A mes yeux, une mère idéale,
Car, y’a eu lieu,
Sans doute, que Dieu,
Ta doté de toutes les bontés, en général.
.................,
Le vent, sa fraicheur,
Qui en jolis les fleurs,
Cette nature au silence,
Aux diversités, soit disant luminescence,
................................,
Ô à vous mère,
Tu es la merveille des mères,
Dans ce monde,
Ou chaque seconde,
Compte pour l’éternité,
Si cher et si rare
Mère phare,
Dans l’infinie de l’obscurité.
................................................,
Ô mère toi qui es la sève,
De mon bientraitance,
Tout de même, comme Ève,
Pour l’humanité et son existence,
..............................,
Les injustices hagardes,
Les blâmables en regardent,
Viendra le jour, où nous serons sublimes,
Tous comme de la racine aux cimes
....................................,
Abdi-Basid ADAN
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